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Au clair de la lune - Théa d'Albertville
Dans la douceur d'un soir d'automneLa lune trône énorme et pleineSans calculer elle se donneAux amoureux qui se promènentBientôt sous son regard étrangeIls vont s'allonger sur le sableEt puis offrir un beau mélangeDe bras et de jambes, une fableJe prends la place de la femmeGlisse dans ce corps un peu froidEt l'homme au-dessus, cette âmeJe la reconnais bien, c'est toiMes lèvres avides te dégustentMes doigts impatients te parcourentPuis ralentissent sur le busteEt mes narines hument l'amourMon ventre en mouvements inviteIl a faim de te recevoirLe besoin de fusion m'habiteTu me prendsÔ ...Ô mon corps ...Ô mon âme ...Je déborde de quelque choseUn état second, une flammeUn séisme comme une overdoseLa communion est imminenteExplosion au milieu des dunesEt là haut, comme sourianteElle a participé, la luneThéa d'Albertville12 octobre 2014Hammamet
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Commentaires
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Je vous souhaite une bonne continuation.
Christiane Kolly
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